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Publication : mercredi 6 septembre 2017 22:26

Tiré du site Rebeldia Contrainformativa.
Traduction automatique.

Par Juan Camilo Rodríguez Guerra*

"Question kurde" est le nom générique donné à une réalité dont souffre non seulement le  Kurdistan mais aussi des centaines de personnes dans différentes latitudes, qui partagent des aspects culturels, linguistiques et historiques, mais demeurent, à contrecoeur, à l'écart de la répartition des nations du monde. Ce n'est pas: le Kurdistan est pas un pays. On appelle ainsi un peuple divisé en quatre frontières (Turquie, Syrie, Irak et Iran) qui a subi l'imposition, l'exclusion et la barbarie sous le silence complice de la communauté internationale. ---- Le début de la question kurde commence en 1923, lorsque le Traité de Lausanne divisé artificiellement le Kurdistan en cinq parties (l'Union soviétique avait aussi sa part). A cette époque, une lutte pour l'unification est contrée systématiquement par un Etat où la flamme a jailli consolidera les séparatistes.

En 1945, la brève République de Mahabad, socialiste de style qui, sans le soutien des Soviétiques est battue quelques mois plus tard proclamé l'Iran. Ce qui est intéressant est ce qui est arrivé là-bas, mais ce qui se développe dans les Zagros et les montagnes de l'Anatolie, une coalition de guérilla marxiste kurde qui sont aujourd'hui considérées comme le germe des plus importants dans le vingt et unième révolution anarchiste siècle, à mon avis.

Abdullah Öcalan, un politologue à l'Université d'Ankara, ému par la tragédie des millions de familles séparées et persécutées, il a fondé le Parti en Janvier des travailleurs du Kurdistan - PKK en 1973 2 , ligne marxiste-léniniste. Créé dans le secteur informel du secteur , leurs contre - positions fascistes et nationalistes ont été bien accueillis à la fois dans le mouvement étudiant, ainsi que dans la police secrète turque, qui infiltre et engage l'assassiner de Haki Karer en 1977, jeune solidarité turque avec la question kurde.

A cela, le PKK ne prend pas longtemps pour se rapporter à la guérilla mentionnés et a commencé la lutte armée en 1984. Sa performance est pas perceptible jusqu'à cinq ans plus tard, un tournant donné par deux événements est formé: le premier Ocalan, chef idéologique du PKK, a commandé créer d' abord les femmes kurdes de l' Allemagne de l» organisation; la deuxième cette année pour '92 période en Turquie connue sous le nom donné années de plomb est accentué, où la lutte de guérilla atteint les villes et la répression. Il est quand le PKK, avec environ 1% de présence féminine armée, un rôle de co-leader déléguée aux luttes de quartier dirigées par des femmes. Pour 1992 , on estime que sa présence dans le bras de chasse a augmenté de 1% à 25%.

Une agitation a commencé à se répandre dans les rangs du parti. Les hommes représentaient des campagnes de boycott pour contrer l'émergence des femmes dans la lutte kurde et Ocalan à ce, reflète et écrit La question des femmes et de la famille; livre de socialiser avec des sauts de guerrillerada avec la théorie marxiste-léniniste 3 . Il est suivi par une tension théorique interne contre la mentalité patriarcale établi que les femmes ont vu en tant que sujet faible et vulnérable retardant la révolution, et devraient donc être reléguées à un des commandants du PKK de l' objet sexuel.

A ce Ocalan, en 1992, il a envoyé pour créer une armée de guérilla qui existe à ce jour, connu sous le nom des unités de protection des femmes - YPJ, qui en 2016 comptait environ 13 000 combattants.

Dans la fin du XXe siècle , le chef idéologique du PKK est emprisonné par la Turquie et condamné à la réclusion à perpétuité. Ce n'est pas un obstacle à une réflexion plus poussée Ocalan et de l' écriture. De sa prison, il sympathise avec la théorie de l' anarchiste américain Murray Bookchin, qui propose la création d'organisations politiques horizontales qui saisissent progressivement les fonctions aux Etats. Cette relation théorique entre Ocalan et Bookchin explique pourquoi le Congrès 2002 , le PKK adopte confédéralisme démocratique comme un projet politique, un système cantonal où les décisions sont prises à partir des assemblées de quartier et, le cas échéant, sont ensuite discutées dans les cantons, puis villes et provinces. Cela implique une prise de conscience de la démocratie directe, aussi appelée fond - up organisation ou bottom-up.

Le reste fait partie de l'histoire. Le PKK armé gagne le Kurdistan syrien, la Syrie, en 2012, avant l'arrivée des forces de l'Etat islamique, et lance un projet pour réaliser le confédéralisme démocratique. Ce projet, et travaille non seulement dans mais dans une grande partie Kurdistan syrien du nord de la Syrie, rappelez-vous ce qui est arrivé dans la guerre civile espagnole lorsque la CNT, union anarchiste, défend Barcelone de Franco et établit la démocratie directe. Et cette sortie kurde, qui ne préconise pas un État national, mais d'acquérir une autonomie politique, économique et militaire de la Syrie, a la capacité d'encourager ces centaines de personnes sans pays dans le monde à l'auto-organisation sous le drapeau noir de l'anarchisme.
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1 ) Je ne comprends pas le terme parti des connotations de la démocratie libérale, mais du marxisme-léninisme. Par conséquent, il n'y avait pas d' aspiration électorale , ni intérêt à participer au concours politique du parti turc.

2 ) La fondation officielle du PKK est en 1978, mais depuis '73 Öcalan a travaillé de façon informelle dans des organisations qui sont perçues comme predecesoras le PKK. Sterka Sor (Red Star) a été probablement infiltrée le groupe par la police secrète turque.

3 ) Bien que cette question soulève la discussion, de nombreux théoriciens féministes expliquent que le projet marxiste était jamais intéressé en cause sexuelle et le sexe, qui a estimé qu'après la victoire du prolétariat et l'arrivée du communisme, toutes sortes d'inégalités disparaissent.

* Étudiants VIII semestre sciences politiques - Université de La Sabana - @SiembraNada - juanrodgu @ unisabana.edu.co

https://rebeldiacontrainfo.wordpress.com/2017/09/06/una-salida-libertaria-a-la-cuestion-kurda/